Par V.A. et P.V.
Nos logiciels SMART
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Le risque d’infection à la COVID-19 est devenu un enjeu majeur au sein des divers établissements durant cette pandémie. En effet, la sécurité de chacun par rapport au virus est une priorité. La mise en place par le gouvernement d’un protocole sanitaire pour les bars, les restaurants et restaurants d’hôtel ; et d’un protocole sanitaire renforcé pour les commerces, illustre cet objectif.
Nos études sur la qualité de l’air intérieur sont en phase avec les recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) concernant les normes relatives à l’aération des établissements recevant du public. Les objectifs d’aération, de ventilation et de renouvellement de l’air dans les pièces, déjà prééminents tant ils sont importants pour la santé en temps normal, le sont d’autant plus désormais.
Dans ce climat anxiogène pour beaucoup, Octopus Lab a fait le choix de l’innovation, et prend part à la lutte contre la COVID-19. Nous avons en effet décidé d’apporter notre expertise sur la qualité de l’air intérieur afin d’assurer la sécurité de chacun vis-à-vis du virus. Suite à une telle affirmation, vous êtes certainement en train de vous demander : « Mais comment calcule t-on le risque d’infection à la COVID-19 chez Octopus Lab ? » Notre capacité à lire dans vos pensées s’arrêtera là, mais voilà sans plus attendre nos explications.
Notre logiciel INDALOⓇ permet d’identifier les sources de pollution de l’air intérieur ou bien d’analyser l’impact de la pollution extérieure sur la qualité de l’air intérieur. Les simulations sont développées selon plusieurs critères : le temps d’occupation, la ventilation exercée, la grandeur des pièces, et bien d’autres…
Toutefois, le logiciel passe un nouveau cap avec l’apport d’une nouvelle expertise.
Lors du premier confinement en 2020, au sein de notre logiciel INDALOⓇ, nous avons développé un modèle de propagation du SARS-CoV-2 dans les environnements intérieurs. Le but ? Quantifier l’impact de différentes mesures préventives sur le risque d’infection à la COVID-19.
Certes, la transmission du virus s’effectue par contact des mains avec les surfaces contaminées. Elle s’opère également par l’inhalation de particules fines chargées de virus. Celles-ci sont émises lorsqu’un individu malade tousse, se mouche, ou parle fort. Le virus peut rester en suspension dans l’air plusieurs dizaines de minutes lorsqu’il est transporté au sein de particules de petites tailles. Il peut aussi se déposer aux surfaces rapidement lorsqu’il est au sein de particules de grande taille. On comprend ainsi le rôle considérable du renouvellement de l’air dans l’élimination rapide du virus en phase aérienne. Ainsi, la probabilité qu’un individu inhale des particules contenant des copies d’ARN de virus est bien moindre. Toutes ces mesures viennent appuyer les gestes barrières et la limitation du nombre d’occupants par espace.
Enfin, presque ! En réalité, nous présenterions ainsi les choses : suivez les recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique, mesurez le taux de CO2 dans vos locaux mais ATTENTION, restez néanmoins toujours vigilants, même si votre capteur clignote vert !
Et en d’autres termes, fiez-vous surtout à notre indice COVID – mais là, je dévoile la fin de mon histoire !…
Regardons ensemble notre étude de cas. Choisissons une maquette typique d’un espace de travail. Nous y analysons les teneurs en CO2 ainsi que le risque d’infection à la COVID-19 dans deux pièces ayant le même nombre d’occupants, mais à l’usage différent :
La concentration moyenne en CO2 en période d’occupation est plus importante en salle de réunion que dans l’open-space. A contrario, le risque d’infection à la COVID-19 est plus important dans l’open-space que dans la salle de réunion. La concentration de virus en phase aérienne est plus importante dans la salle de réunion. Mais ceci est contrebalancé par un temps d’occupation important dans l’open-space.
En effet, saviez-vous que le risque d’infection est fonction de la dose totale de virus inhalée ?
Je m’explique : le risque d’infection dépend de la concentration en SARS-CoV-2 dans la phase aérienne et aux surfaces, ainsi que du temps pendant lequel les occupants y sont exposés.
Alors, même si votre capteur vous indique ou clignote vert (= votre taux de CO2 dans votre pièce est en-dessous des 800 ppm), vous n’êtes pas à l’abri de méchants virus en promenade dans l’air ! Par conséquent, il convient d’aérer un maximum les espaces pour limiter les contaminations.
Ainsi, grâce au logiciel INDALO® COVID, nous pouvons vous aider à estimer le risque d’infection au sein de vos restaurants, commerces, écoles, bureaux et tous autres bâtiments en fonction de différentes mesures préventives et scénarios.
Octopus Lab intègre même aujourd’hui ce calcul de risque COVID dans INDALO® Supervision, sa solution de gestion intelligente de la qualité d’air intérieur. Pour chaque pièce instrumentée de capteurs, le risque de contamination est estimé en fonction de l’occupation, du renouvellement d’air, des niveaux de polluants et du temps de vie du virus dans l’air. Cet indice COVID affiché sur le tableau de bord INDALO® Supervision permet de maintenir une activité dans vos établissements, de rassurer le public accueilli et d’encourager l’adoption de comportements prudents. INDALO® Supervision peut également piloter les systèmes de ventilation de vos bâtiments pour minimiser les risques de transmission du SARS-CoV-2.
En conclusion, favorisez la mesure du dioxyde de carbone, renouvelez l’air et /ou réduisez le nombre de personnes admises dans vos pièces ! L’objectif est de respecter le seuil des 800 ppm de CO2 recommandés pour la sécurité de tous.
OU
Optez simplement pour INDALO® Supervision qui gère la ventilation intelligemment pour vous et par anticipation.
Car c’est bel et bien la santé et la sécurité de chacun qui priment. C’est dans cette optique qu’Octopus Lab s’engage dans cette lutte contre le virus, la qualité de l’air intérieur étant plus que jamais fondamentale.
Par V.A. et P.V.
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